Paroles et musique – Luiz MacPontes
J’entends souvent le son de ta voix
Retentir dans mes rêves,
Tu me manques et je pleure
Nos grandioses souvenirs
J’entends ton cœur battre tout près de moi
Au ralenti, chagrin sans trêves,
Tu me manques et je pleure
Nos merveilleux souvenirs
Malgré ce silence étourdi,
Voleur de sommeil,
Veut éteindre le soleil
De nos vies
Je t’entends, je t’entends crier,
Larmes aux yeux :
Papa tu me manques aussi
Oui, mon t’bout, mon t’cœur,
As-tu déjà entendu parler de « saudade » ?
Sobriquet de ce virus appelé malheur
L’impitoyable destructeur de la « felicidade »
Il agit comme un puissant acide
Qui ronge l’intérieur de la poitrine
En laissant, hélas, un immense vide,
Ce chic type nous possède et nous chagrine
Oui, cela fait un gros bobo, ma fille
On se meurt à petit feu, petite coquine,
Sans pour autant quitter la vie